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On the streets of Berlin lads get kidnapped to be used and abused in dingy basements by a bunch of domineering machos. Piss, bondage, beer and whacking, they’ll resort to any suitable method to humiliate their victims who must indulge their every sexual whim. However Mika manages to overpower his abductor and gets his revenge... Five horny scenes featuring a pillory, spanking benches, handcuffs,…
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Length: 132 mm |
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Number of scenes: 5 |
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Language: German |
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DIRECTOR |
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ACTORS |
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MAX JAEGER |
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A Berlin, des jeunes mecs se font kidnapper pour servir dans les caves de jouets sexuels à une bande de jeunes dominateurs. Pisse, bondage, bière et coups, tout est bon pour humilier les victimes qui doivent être au service permanent de leurs kidnappeurs. Cinq scènes très directes, bancs à fessée, menottes, mollards, pisse en abondance et superbes éjaculations !
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Les pornos gay fantasment souvent sur le kidnapping. C’est presque devenu une figure de style chez certain labels. Par exemple, le label allemand Cazzo a très souvent recours à cet argument scénaristique dans ses productions. Une fois, ce sont de jeunes mecs qui font l’objet d’expérimentations médicales pour développer leur instinct sexuel. Une autre fois, ce sont des rapts officiels conduits par les forces de l’ordre pour rééduquer de dangereux jeunes déviants.Dans ce film,«Berlin Beer Bondage»,l’idée est assez différente. A Berlin donc, des jeunes mecs se font kidnapper pour servir dans les caves de la ville de jouets sexuels à une bande de jeunes machos très dominateurs. Pisse, bondage, bière et coups, tout est bon pour humilier les victimes (assez consentantes) qui doivent être au service perma- nent de leurs kidnappeurs. Ces derniers sont assez sexy et on se demande bien pourquoi ils doivent avoir recours à cet expédient alors qu’ils ont tout pour plaire et qu’on voit mal un gay (normalement constitué) résister à leurs charmes et à leurs centimètres. Evidemment, on pourrait avancer la thèse que les kidnappés sont de jeunes hétéros auxquels leurs ravisseurs veulent faire découvrir les joies de la sodomie... passive.Mais à les voir et à les entendre... cette thèse n’est pas des plus crédible. Optons donc pour l’argument fantasmatique à défaut de la crédibilité narrative. Il va s’en passer des choses dans les caves (très équipées) et même des retournements de situation.Mika Poika, un des héros du film, va ainsi réussir à maîtriser son ravisseur et à prendre sa revanche... A noter la participa- tion de David Lemarque qui a aussi joué dans des films comme «Inflagranti» et celle Moskito est lui une grande vedette dans son genre... il a tourné dans près d’une vingtaine de films pour Spritzz et toutes ses filiales. Cinq scènes très directes avec pilori (C’est David Lemarque qui a la boule dans la bouche), bancs à fessée, menottes, mol- lards, pisse en abondance et superbes éjaculations !
JM
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