Il s’appelle Riu Melo, il est jeune, gay, passif et brésilien. Il a une obsession dans la vie : le sexe. Il va réaliser en cinq scènes son fantasme d’être une « slut » machine pour des partenaires qui ne demandent que cela. Dans la première scène, le jeune Riu se trouve aux prises avec Rodrigo Beck-mann. Ce dernier a remarqué le jeune mec marchant dans la rue puis se rend dans un lieu calme… manifestement un lieu de débauche: le mûr est tapissé de photos de nanas blondes à gros seins. Et là, Rodrigo va lui faire son affaire. Il attache le jeune homme, l’humilie et lui brandit sous le nez son énorme queue. Il faut dire que le jeune acteur blanc (Alexander joue complèrte-ment de ce contraste et son acteur passif et ses étalons actifs) ne rêve que d’être la «chose» de vrais mâles et ses fantasmes le portent vers un même type de partenaires : les blacks bien montés. Le petit mec a quitté les quartiers des classes moyennes pour aller s’encanailler en direction des favelas avec son sac à dos et un gode. Gode qu’a bien trouvé Rodrigo et qui lui a fait comprendre quelles étaient les vues de Riu Melo en visite dans ce quar-tier. Ce parcours de découvertes ira au-delà de ses espérances et le comblera… dans tous les sens du terme.
JT |