C’est un film assez simple dans sa composition que propose le réalisateur Paul Wilde. Il a choisi de camper l’action de "Strobe" dans une boîte de gays… dont la piste de danse est envahie par de très beaux mecs qui ont des corps à se damner et qui trépignent sur le rythme d’une improbable techno … Bon, à l’écoute, il apparaît que les rythmes ne se sont guère enthousiasmants. C’est sans doute la raison pour laquelle un des colosses du lieu déserte la piste pour aller se réfugier dans le sous-sol de la cave.. Il sera très vite rejoint pour un magnifique colosse qui ne veut que baiser et n’entend pas esquisser le moindre pas de danse. Le duo (George C et Samuel Colt) va s’entreprendre.. puis après trois ou quatre léchouilles et pompages, se prendre tout simplement. La seconde scène nous montre le même lieu, mais cette fois au moment de la fermeture. Il reste bien un client (très sexy Jessy Ares) qui sirote son dernier verre tandis que le barman (Marcus Isaacs), très sexy, et le slip tombant un peu sur les fesse, range les derniers verres. Ce slip trop bas et comme un appel à la baise, appel que le beau Jessy a capté cinq sur cinq… Il va alors réclamer son dû, le cul de joli barman et l’obtenir. Très belle scène qui vaut largement celle de la fin de film en trois saynètes : celle ou deux gros malabars (Jesse Jackmann et Casey Williams) à la tête rasée et aux couilles bien pleines vont se livrer à un très bon plan cul. C’est bien, solide, i y a des râles et des grosses mains qui farfouillent un peu partout, des grosses queues qui forcent le passage.. Voilà en trois scènes, on sait comment cela se passe entre des mecs aux allures de bears (en plus minces) mais très velus lorsqu’ils se transforment en piliers de bars et bêtes de sexe.
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