Quatre scènes… pas plus, pas moins, pour que Jörg Andreas fasse un sort au monde des garagistes. Le boss d’un garage pour motos mène son affaire de mains de maitre et voilà, après que le travail a été fait, qu’un motard se retrouve dans l’incapacité de payer sa dette. Il ne restera à ce dernier qu’à payer sa facture au moyen de sa bouche et de son cul. C’est le colosse velu qu’est Spencer Reed qui tient la taule et c’est lui qui se fait régler en nature. Et côté graissage, Spencer sait mettre ce qu’il faut là où il faut. De l’autre côté se prépare un autre drame : son apprenti, le nouveau venu Diesel O’Green, a fait quelque chose de mal… il a raté une réparation… ce n’est pas bien mais il a beaucoup de chance car il a un cul fabuleux et Jessy Ares à qui il ne faut pas en promettre va savoir obtenir réparation de la bévue. De son côté, Troy Daniels va, lui aussi, savoir payer de sa personne en réparant, une voiture cette fois, avec son très joli collègue aussi viril que tatoué.. on veut parler de Mark Metzger qui fait, comme lors de sa précédente apparition, très forte impression. Comme dans tout garage, dans celui de Spencer Reed, il est question de polish, de briquer les belles carrosseries, de graisser les plus belles pièces… Très bien fait, le film déroule son petit bonhomme de chemin, efficace et calibré… Les duos sont très bien composés et redoutablement efficaces en matière de fantasmes et d’excitation. Par exemple, c’est une très bonne idée d’avoir mis la vedette qu’est Spencer Reed avec JP Dubois, jeune acteur très sensuel (c’est lui le motard qui ne peut pas payer) dans le deuxième scène et de l’avoir remis avec l’acteur belge Stany Falcone dans la dernière scène du film. C’est une bonne idée également d’avoir associé Troy Daniels et mark Metzger. Quant à Jessy Ares, il fait des merveilles et des misères à Diesel qui impressionne pour une première prestation.
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