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FFF… ce sigle n’est pas toujours celui de la célèbre formation qui fait de la musique… cherchez bien vous allez trouver qui s’est. Ici, FFF, c’est l’acronyme de trois pratiques que Paul Wilde dont on ne vous présente plus la perversité à cherché à associer pour le plus grand plaisir de ses fans de plans cul hard. «Vous pensiez avoir tout vu ? «, demande le label US qui espère bien que non. Et cela tombe bien… vous n’avez pas tout vu. Lorsqu’on y réfléchit un peu et lorsqu’on voit l’ensemble des films de ce label (ce qui est notre cas), c’est d’ailleurs ce qui frappe. Comme si Paul Wilde avait une mission sur terre… nous montrer tout ce qui peut se passer en matière de cul entre deux mecs ; repousser les limites du fantasme, lui ouvrir de nouveaux horizons. Cette fois, le réalisateur a voulu nous montrer trois longs plans cul qui repoussent les limites de la virilité, de l’abandon… On retrouve pour démarrer Spencer Reed (qui n’en finit pas de se montrer…). Il oppose son épaisse silhouette musclée à Draven Torres, acteur assez étonnant et très sensuel. Les deux hommes s’opposent sur un ring de boxe (c’est ça le fight). Dans les faits, il sera davantage question de pisse et de baise, de domination sexuelle que de lutte sportive. La suite met aux pièces Shay Michaels (qui ne demande qu’à être pris) et Hunter Marx (qui ne demande qu’à prendre). Mais les deux acteurs aiment aussi l’inverse… on appelle cela le flip flop… Ce flip flop-là, il se fera dans la boue. Les deux acteurs vont s’y plonger, s’y ébattre, s’y aimer… Leurs corps vont se rouler dans cette matière, puis peu à peu comme s’y fossiliser. C’est très étonnant et très excitant… (et cela c’est probable que vous ne l’avez jamais vu). Il restera alors à voir l’alchimie qui se produit entre Alan Silver et Tibor Wolfe lorsque Alan fiste Tibor qui ne demande que ça. Le film est totalement maîtrisé, réalise et monté avec une grande efficacité. Il fait fantasmer à la puissance XXXL. Bref, la marque de fabrique de Paul Wilde.
TM |
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