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"Pour un grand porno, c’est un grand porno dans lequel le réalisateur montre bien sa passion des mecs, écrit la revue Radvideo.com à propos de ce film. Il réussit le tour de force de nous montrer des mecs musclé qui, ensemble, nous proposent un des meilleurs films de X récents”. Un coup d’œil rapide sur cette production confirme le
jugement du spécialiste. SteveCruz a choisi de poser sa camera dans une entreprise fictive peuplée de mecs virils et très sexy qui savent tout faire en matière de packaging, d’emballages, d’expéditions de cadeaux et de paquets en tous genres.Ce film, tel qu’on comprend le point de vue du réalisateur, a choisi les meilleurs moments qui vont opposer des emballeurs de première. Evidem- ment, les grandes manœuvres se déroulent dans l’intimité du boulot, chacun va donc faire une approche plus ou moins subtile pour faire comprendre ses besoins,sesenvies.Lapremièrescènepermetauxfans, et ils sont nombreux d’Erik Rhodes, de voir l’acteur dans un univers assez différent de ceux qui ont été son lot chez Falcon pour lequel il a beaucoup et bien tourné. Il se trouve ici associé à Samuel Colt. Ce dernier est en train de préparer des commandes (comme par hasard des articles de cul) lorsque le beefy Erik Rhodes arrive. Il vient déposer des boites vides qu’il faut bien évidemment remplir. On comprend vite que le beau Erik a d’autres choses en tête que de se faire remplir ses boites... il a même des idées bien arrêtées sur la question. Il va donc user et abuser de ses charmes pour arriver à ses fins. Samuel Colt lâche alors cette réplique d’anthologie : “ Bon dieu, quel paquet ! ” Il ne faut pas être doué de pouvoirs divinatoires pour comprendre quelle va être l’issue de cette approche et la conséquence de cette sortie.Erik,droit dans les yeux et un regard en coin sur le bas ventre, lui répond : “Toi, tu as une idée”.
C’est beau lorsque les grands esprits se rencontrent. Il s’ensuit une ouverture de jean, puis une tombe de jean, puis une grosse queue qui surgit (la fameux gros paquet...) puis on abandonne l’ennui travail pour des travaux pratiques bien plus pénétrants. La suite, on vous la laisse deviner mais elle tient toutes ses pro- messes. C’est le cas de la scène qui suit. Celle-ci associe deux autres acteurs qui ont toutes les formes qu’il faut, là où il faut... Il s’agit de Damien Stone et Wilfried Knight,une petite merveille découverte il y a quelques années par Michael Lucas qui lui a donné quelques un de ses plus rôles.
Et voilà, cette fois, c’est Damien qui est condamné aux emballages tandis qu’il voit passer des magazines de cul qui lui donnent l’idée de se faire une petite branlette des familles... Bien entendu, il est surpris par un de ses potes à l’usine qui n’est autre que Wilfried qui aime beaucoup qu’on s’occupe de son paquet... qui est d’un certain volume, lui aussi. Bon, on connait la suite... et elle est un beau cadeau. Les deux dernières scènes de ce film sont également des duos, la troisième associe Bo Dean et Angelo Marconi qui mérite largement ses gallons d’acteur de l’année.
Gros morceaux pour la scène finale qui met aux prises Tony Buff dont on n’a plus à vanter les qualités de rai- deur et Cavin Knight qui vient lui donner un coup de main pour régler deux,trios éclairages... Deviner qui va voir la lumière céleste ? Un solide film qui vous donnera envie d’emballer séance tenante.
JT |
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