Pas de mystère dans le titre, juste une précision temporelle (la nuit) et géographique (le Krash, un bar à cul parisien). C’est, en effet là, dans ce sex club parisien que la réalisateur a planté sa caméra... comme on dit. Son idée ? Nous montrer les phases d’une torride nuit de baise entre des mecs chauds et poilus (pour la plupart) qui attendent des baiseurs patentés pour une belle orgie qui fait la réputation de Paris (du moins, on, suppose que c’est ça le pitch). Le principe est alors simple : on met dans un lieu de baise réputé et bien conçu des acteurs chevronnés comme Wilfried Knight, Brice Farmer (qui tourne chez Cazzo) et le redouté Aitor Cash, une des vedettes de Jalif Studio... et on voit arriver les clients... Alors qu’est-ce que cela donne ? Disons, sans trop dévoiler les surprises : des mecs plutôt très beaux qui arrivent dans le club et qui tombent sur quelques uns des plus chauds bouillants acteurs de X du circuit actuel... pas la peine d’avoir fait saint-Cyr pour comprendre que les corps des uns et des autres vont s’agglutiner, se palper et transformer le Krash en une vaste salle d’orgie. Ça baise (plutôt très bien) dans tous les coins de l’établissement. C’est évidemment un très bon film qui rappelle la virilité, l’érotisme, la puissance de la série Dark cruising. C’est une sacrée réussite qui entretient le mythe du gay Paris.
TJ |